
Actualité
Sandrine Piau aux BBC Proms 2023
Pygmalion/Pichon review – fascinating and moving take on Mozart’s Requiem
... "Playing and choral singing had terrific immediacy – Pygmalion are an outstanding ensemble – and the solo quartet in the Requiem were comparably fine. Sandrine Piau replaced the indisposed Erin Morley, her silvery soprano beautifully contrasted with Beth Taylor’s wonderfully rich mezzo..."
The Guardian, Tim Ashley, 8 septembre 2023
Sortie de l'album Voyage Intime avec David Kadouch


"... Sandrine Piau l’interprète d’une voix dont, une fois encore, on admire la fraîcheur, la clarté du timbre et la souplesse admirablement préservées, ainsi que le vibrato jamais marqué. David Kadouch, dont on connaît le goût pour la musique de chambre, se plaît à différencier toucher et couleurs selon les styles et les atmosphères, attentif au chant et réceptif aux textes..."
(Opéra Magazine)
"... Malgré la (presque) génération qui les sépare, les deux protagonistes trouvent d’emblée le ton d’une véritable complicité tout en gardant intacte la part d’expressivité de chacun et sa contribution à l’élaboration collective..."
(Forum Opéra)
"...La sensibilité de ces deux artistes, que l’on sait délicate, se rencontre à merveille dans des œuvres qui requièrent cette unité d’âme..."
(Diapason)
"...L’approche de Sandrine Piau est bouleversante de simplicité et de maîtrise : aucun effet gratuit, rien que la calme appropriation de poèmes mythiques, restitués dans une sorte de détachement onirique qui ne les rend que plus puissants..."
(La Libre Belgique)
"...This is a glorious collaboration, and a wonderful record. If it doesn’t pick up some awards, it will probably only be because Sandrine Piau’s releases, particularly of baroque repertoire, tend to win so many of them anyway ... Perhaps the most jaw-droppingly effective section in pacing, flow and sheer attention of both singer and pianist to the detail of every nuance from beginning to end, are three Baudelaire settings by Debussy from the late 1880’s...."
(The Arts Desk)
"... we’re easily pulled into most of the songs by the vibrato-light clarity of Piau’s voice, and the delicate piano playing of David Kadouch ... It’s Liszt as well who finishes this skilful if not crucial album with “Comment, disaient-ils”, a glint of French sunshine that offers love as life’s best solution..."
(The Times)
"...It's a really immersive experience and they do make you reflect, they do make you think and look back on your life. I love the slight edge of vulnerability to her voice and at the same time there is a little bit of restraint, a little bit of coolness which perfectly suits this repertoire. I think they've done a fabulous job, so very high on my list this week..."
(BBC Radio 3)
"...A philosophical, emotional and geographic journey told through a superb selection of songs; Sandrine Piau is a profoundly poetic guide, David Kadouch her perfect travelling companion..."
(Gramophone)
"...The three Debussy pieces from his Cinq poèmes de Charles Baudelaire are among the highlights of the recital, exquisite in tone, line, nuance and vocal colour. These songs feature on numerous fine mélodie recitals, but few I know surpass these versions..."
(MusicWeb International)
L'album Rivales récompensé par un Diamant d'Opéra Magazine

Michel Parouty, Opéra Magazine, 21/04/2022
https://lyrik.fr/opera-magazine/comptes-rendus/eblouissantes-rivales/
Sortie de l'album Rivales :
Véronique Gens, Sandrine Piau, Julien Chauvin, Le Concert de la Loge

"Brillante Primadonnenrangeleien – die französischen Diven Véronique Gens und Sandrine Piau auf den Spuren von Madame Saint Huberty und Madame Dugazon. Und natürlich ist die Kombination der beiden am Höhepunkt ihrer Möglichkeiten stehenden Gesangskünstlerinnen Veronique Gens und Sandrine Piau ein Glücksfall."
(Online Merker)
"La dualité est de mise dans la succession de ces pages qui figurent une « battle » dans laquelle la majestueuse Véronique Gens fait jeu égal avec l’impétueuse Sandrine Piau."
(Le Monde)
"Sandrine Piau déploie ici son soprano radieux et léger avec une suavité et une douceur constantes. Véronique Gens donne libre cours à la majesté de sa tessiture et à la largeur de son médium sans bouder son plaisir. Le Concert de la Loge, ici en grand effectif avec cordes, bois et cuivres, virevolte et fait des étincelles sous l’impulsion de son chef Julien Chauvin."
(Ôlyrix)
Interview Telerama :
“Les divas du XVIIIe siècle étaient aussi populaires que des actrices de cinéma”
"Amies à la ville, les deux étoiles françaises du lyrique Sandrine Piau et Véronique Gens prêtent leur soprano, sur disque et sur scène, à deux cantatrices rivales de la fin du XVIIIe siècle. Entretien croisé et sans fausses notes."
"À cette époque, l’opéra était vraiment un art vivant. On y allait pour découvrir la dernière création à la mode. Et c’était soit un bide, soit un triomphe.” (Sandrine Piau)
“En France, malheureusement, les chanteuses baroques ne sont pas reconnues comme de vraies chanteuses.” (Véronique Gens)



Huit femmes puissantes – Händel : Enchantresses par Sandrine Piau
"Dans ce disque qui fait la part belle à ces personnages féminins fascinants, la magie réside finalement aussi dans la voix et l’interprétation, transformant Sandrine Piau en une nouvelle enchanteresse pour l’auditeur. Si ainsi que l’indique la soprano dans le livret, « inexorablement, tout enchantement prend fin », on se réjouit que celui de l’écoute de cet enregistrement fasse exception et qu'on puisse y revenir encore, et encore, et encore…"
"...Piau’s vocal technique is as impressive as ever: the most difficult coloratura passages are managed with disarming evenness and accuracy. Her breath control seems limitless, as does her ability to float a phrase....And how naturally Correas and his players provide Piau room for her many embellishments. The energy and musicality of Piau’s singing is fully matched in the orchestral playing. One senses a deep connection and shared vision between these musicians."
"...un échantillon de tout ce dont quoi Sandrine Piau est capable, et que l’on regrette de ne pas assez souvent pouvoir applaudir dans les théâtres. Jérôme Corréas, avec qui la soprano avait enregistré en 2011 le superbe disque Le Triomphe de l’amour, consacré à la tragédie lyrique française, se montre tout aussi convaincant dans Haendel..."
"...Klar, transparent und griffig interpretiert Piau diese vielschichtigen Frauenfiguren. Begleitet wird sie von einem langjährigen Weggefährten: Jérôme Correas mit dem Ensemble "Les Paladins", das dynamisch mit der Solistin agiert und mit seinen Klangfarben die Szenen wunderschön plastisch illustriert. Besonders überzeugen dabei an vielen Stellen die prägnanten Bläser...
Und dann ist da ja noch diese eine Arie: "Lascia qu'io pianga" aus Händels Rinaldo. Sandrine Piau singt sie hier zwar nicht zum ersten Mal, aber man kann sich ohnehin nicht daran satt hören. Satt singen übrigens auch nicht, sagt jedenfalls Sandrine Piau: "Lascia qu'io pianga", die bewegenste Arie überhaupt, strahlt in ihrer Schlichtheit und Menschlichkeit wie eine Beschwörung durch die Jahrhunderte. Wie durch Zauberei."
Sortie de l'album Enchantresses : Sandrine Piau, Jérôme Correas, Ensemble Les Paladins
«L'éternelle jeunesse d'une voix toujours aussi hypnotique«
(Le Figaro)
«L’orchestre, ductile, clair, remarquablement conduit par Jérôme Corréas, est un partenaire exemplaire, qui offre un écrin aussi admirable que la voix de la soliste «
(Forum Opéra)
« L'un des récitals les plus convaincants d'une cantatrice plus que jamais indispensable «
(Opéra magazine)
L'album Clair-Obscur récompensé !


Clair-obscur envoûtant avec Sandrine Piau : récompensé par une Clef d'or
"Dans toutes ces pièces, Sandrine Piau fait triompher le miracle de sa sensibilité musicale. Devant tant de beautés vocales, on ne sait s’il faut davantage s’incliner devant la délicatesse infinie des phrasés, devant les moirures argentées de ce timbre flûté d’une rare fraicheur ou devant la palette de couleurs qui pare une ligne vocale d’une extrême droiture. Les cinquante minutes de cet album pour le moins inspirant s’entendront comme une porte vers le monde du rêve et de l’imagination."


Interview ForumOpera
Sandrine Piau : "Je suis un clown triste"

Sortie de l'album Clair-Obscur : Sandrine Piau, Jean-François Verdier, Orchestre Victor Hugo
« Le rêveur ! Ce double de notre être, ce clair-obscur de l’être pensant » écrit Gaston Bachelard en 1961. « Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres », poursuit Antonio Gramsci. Sandrine Piau a choisi d’apposer ces deux citations en exergue de son nouvel enregistrement : « Mes proches connaissent cette obsession qui ne me quitte jamais totalement. L’antagonisme entre lumière et obscurité. Le clair-obscur, l’entre deux… ». Ce programme, enregistré avec l’orchestre Victor Hugo dirigé par Jean-François Verdier, chef et clarinettiste super-soliste de l’Opéra de Paris, chemine en effet entre la froide forêt rhénane du Waldgespräch, ballade de Zemlinsky composée en 1895 pour soprano et petit ensemble, la nuit du premier des Sieben frühe Lieder de Berg (1905-1908), le soleil de Morgen de Richard Strauss, suivi des Quatre Derniers Lieder, composés en 1948, dont les deux premiers Frühling (le printemps) et September (l’automne) sont aussi « les saisons de la vie » conclut Sandrine Piau.