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Revue de presse

Archives 2018

LE DEVOIR

"Dans le domaine de la mélodie, lorsque la culture et la qualité vocale (comme c’est le cas de Sandrine Piau) s’allient à la curiosité de répertoire, on atteint les sommets. Disque « pointu », mais précieux."

Le Devoir,10 août 2018, Christophe Huss

RESMUSICA

"Jouissives Chimères de Sandrine Piau et Susan Manoff"

"Au gré de ces vingt-trois propositions toutes aussi jouissives les unes que les autres, [...] on apprécie la belle symbiose des deux interprètes. La qualité du timbre de la soprano fait merveille, portée par une ligne de chant des plus voluptueuses, d’une prosodie naturelle constamment au service d’une juste expressivité, permettant d’obtenir une émotion vibrante note après note, pour « le désir fou de donner réalité à nos rêves. » Et cela que ce soit en langue française, en anglais ou en allemand, grâce à un soin apporté à une diction brillamment accomplie. La voix se love dans l’écrin particulièrement juste du jeu de Susan Manoff, la pianiste s’affirmant comme l’élément indispensable à la magie de ces chimères qui s’opère."

ResMusica, 16 août 2018, Charlotte Saulneron  

CHIMERE : Wigmore Hall

"Baroque specialist Sandrine Piau turned her attention to more-recent repertoire with an emotionally probing and vocally sparkling Wigmore Hall recital, a spellbinding and intimate programme entitled “Chimère”, of nineteenth- and twentieth-century song by European and American composers exploring the sublime joy of physical love and the despair of abandonment, with all the dizzying stages in between."

Classicalsource.com, juillet 2018

CHIMERE

"One listen to Piau's absolutely exquisite rendition of Carl Loewe's "Ach neige, du Schmerzenreiche," which opens the program, will convince you of the soprano's impeccable phrasing, subtlety of nuance, and ability to convey the deepest of emotions while retaining the refined beauty of her vocal production. Here and throughout the recital, Piau's high notes are islands of beauty of savor over and over. Manoff, who never calls attention to herself, plays as one, breathing with Piau's every slight change of dynamics or tempo."

Jason Victor Serinus, Stererophile, 15 juillet 2018

"La beauté de la ligne de chant couronnée d’aigus lumineux, la clarté d’une prosodie au service de l’expression, l’inspiration poétique du piano enveloppant ou discursif, tout concourt à faire de cet enregistrement un de ces instants magiques, dont on souhaite qu’ils ne finissent pas." 

Marie-Aude Roux 

Le Monde, Dimanche 24 - Lundi 25 juin

CHIMERE ​sera ​Gramophone Editor's Choices !

Susan Manoff offers supremely sensitive and subtle piano playing to complement singing of intense beauty: beguilingly gentle of timbre, Piau’s is a voice that can bloom sensuously at the top, and which she controls exquisitely. It’s a long time since I’ve heard a more purely gorgeous account of Wolf’s ‘Verschwiegene Liebe’”

“this is one of the most fascinating, satisfying and moving recital discs to have come my way for some time. It’s beautifully recorded too”

Sandrine Piau seems to have the same deep understanding, and the four songs here, one to a text by Eichendorff, the other three by Mörike, are real gems: the sensitive Verschwiegene Liebe, the exquisite Das verlassene Mägdlein and the dramatic Lied vom Winde has to rank with the best readings of these oft-recorded songs.”

 

“highly agreeable recital. As in the two previous recitals she is accompanied by the eminent Susan Manoff, whose playing is a wonder of clarity and accuracy.”

“The lavishly illustrated 90-page hardback book + CD makes this an even more attractive proposition.”

 

Göran Forsling, juin 2018

CHIMERES DIAPASON D'OR

Diapason, Juin 2018

"Attentes, suspensions, désirs inapaisés ou informulés tissent leur toile entre lied allemand, la mélodie française et quelques songs. Plus qu'un récital, une plongée onirique." 


"Chimère : non pas mirage mais merveille."


Jean-Philippe Grosperrin, Diapason d'or, juin 2018

A PROPOS DE L'ALBUM CHIMERES...

"L'intelligence des textes et de la démarche qui a présidé à la conception de ce disque se retrouve dans l'interprétation. La voix de Sandrine Piau est la santé même [...] le duo fonctionne parfaitement [...]. Cerise sur le gâteau, le livret est un bel objet, admirablement illustré." 
Jacques Bonnaure, CHOC de Classica, mai 2018

Classica, Jacques Bonnaure, Mai 2018

A propos de l'album Chimère

Piau’s is a voice that can bloom sensuously at the top, and which she controls exquisitely. It’s a long time since I’ve heard a more purely gorgeous account of Wolf’s ‘Verschwiegene Liebe’, for example, and her performance of Gurney’s ‘Sleep’ took my breath away on first listening – and on subsequent listenings, for that matter – made all the more seductive by Piau’s slightly relaxed, tension-free (and pretty much accent-free) way of singing in English.”

“this is one of the most fascinating, satisfying and moving recital discs to have come my way for some time.”

Gramophone, Hugo Shirley

all the positive features of Ms Piau’s artistry are fully in evidence: “cleanness of tone, perfect intonation, agility and a wealth of soft nuance. To this can be added a wonderful sense of style and an intelligent use of the text”, as I wrote in my previous review”

Music Web International, Göran Forsling

« Les premières notes de l’album sont saisissantes par l’intense légèreté qu’elles dégagent, emplissant déjà l’air d’une émotion qui se déploie avec douceur et tout en profondeur. Nous avons déjà là toute la beauté chimérique de ce beau programme qui mêle les langues et les nationalités pour en faire un album unique, cette chimère composée ainsi de plusieurs êtres et de plusieurs émotions unis dans ce tout formidable. »

« Un bel album qui nous mène sans effort dans « les terres infinies des rêves » grâce à 23 titres accompagnés d’un superbe livret qui peut, selon notre envie, nous guider dans ce beau voyage chimérique… »

Opera Online, Elodie Martinez

« La soprano en distille le texte avec une précision qui ne retire rien à leur force, et exploite avec beaucoup d’habileté son registre grave. »

Forumopera, Laurent Bury

“Exquisite is not a descriptor to be dispensed lightly. Yet as I listen to soprano Sandrine Piau's impeccable phrasing in this beautifully sung recital of songs addressing dreams and illusions—the "fake news" around which lives revolve—no other adjective adequately describes artistry of such refinement. “

“The way Piau connects phrases and rounds off notes has been equaled by few other lieder specialists.”

“The sorrow of Loewe's "Ach neige, du Schmerzenreiche," is so palpable and so immaculately rendered that, at a recent audio show, it reduced a roomful of audiophiles to rapt silence. For all who value the expressive potential of the art song, Chimère is a must.”

Stereophile.com, Kalman Rubinson

One listen to Piau's absolutely exquisite rendition of Carl Loewe's "Ach neige, du Schmerzenreiche," which opens the program, will convince you of the soprano's impeccable phrasing, subtlety of nuance, and ability to convey the deepest of emotions while retaining the refined beauty of her vocal production. Here and throughout the recital, Piau's high notes are islands of beauty of savor over and over.”

“this recital deserves a place on every vocal lover's "best of" shelf.

Stereophile.com, Jason Victor Serinus

« La beauté chimérique se déploie avec douceur dès les premières notes de Ach neige, du Schmerzenreiche de Carl Loewe (1796-1869), dévoilant une mélancolie douloureuse que la soprano sait déployer à son meilleur. »

« La qualité du timbre de la soprano fait merveille, portée par une ligne de chant des plus voluptueuses, d’une prosodie naturelle constamment au service d’une juste expressivité, permettant d’obtenir une émotion vibrante note après note, pour « le désir fou de donner réalité à nos rêves. » Et cela que ce soit en langue française, en anglais ou en allemand, grâce à un soin apporté à une diction brillamment accomplie. »

ResMusica, Charlotte Saulneron

The persistent ‘Baroque specialist’ label hardly sums up this distinguished French soprano. With her distinctively radiant, secure tone and cut-crystal upper range, her repertoire has always been much wider.”

BBC Music Magazine, Freya Parr

Piau provides a delicate tone that belies a certain tensile strength, and Manoff’s playing brings out colours and textures beyond mere support. Their programme, ranging from Schumann through Debussy to Previn, is judiciously chosen and beautifully executed.”

Opera Now, Francis Muzzu

PLAISIR D'AMOUR AVEC LE CONCERT DE LA LOGE, MARS 2018

Un bouquet de mélodies françaises pour la plupart inédites enchante le public de l’Arsenal de Metz. 

"Avec une interprète du calibre de Sandrine Piau, dont la voix ne cesse de gagner en fraîcheur et en rayonnement avec les années, les mots semblent couler de source pour se fondre dans le galbe de la mélodie."

Resmusica.com, Pierre Degott, 27 mars 2018

DIALOGUE DES CARMELITES, LA MONNAIE, DECEMBRE 2017

"Des Dialogues des carmélites d'anthologie au Théâtre Royal de La Monnaie de Bruxelles"

Sandrine Piau semble avoir fait sien le rôle de Sœur Constance, auquel elle donne toute sa sensibilité musicale, sa précision et sa fraîcheur vocale. 

Opera Online, Emmanuel Andrieu, 29 décembre 2017

 

ARIODANTE, FESTIVAL DE SALZBOURG, AOÛT 2017

"Ariodante frôle le sans-faute à Salzbourg"

En grande forme et très applaudie, Sandrine Piau est une Dalinda piquante et émouvante. Elle est magnifique dans l’élégie (quels somptueux aigus !) et son impeccable style haendélien illumine la production.

Revopera, 19 août 2017

ALCINA, LA MONNAIE, JANVIER 2015

"La Piau : une légende vivante"

L’élégance, la retenue prévaut sur scène comme dans une fosse remarquablement attentive aux solistes et modérée dans ses tempi, en particulier dans la longue exposition du premier acte, encore empreinte de légèreté, sinon d’insouciance, jusqu’à ce point de rupture, quand tout bascule et que Sandrine Piau entre dans la légende : « Ah ! mio cor schernito sei » est vécu, investi, creusé, renouvelé jusqu’au vertige, jusqu’à l’insoutenable. Notre âme, pour reprendre la formule de Balzac, passe non seulement dans nos oreilles, mais aussi dans nos yeux, car ce que Pierre Audi arrive à obtenir de l’actrice relève également du prodige. Cette leçon de théâtre pourrait aussi s'intituler « de l'art d'utiliser une chaise », accessoire emblématique de ces productions jumelles d'Alcina et Tamerlano exploité avec une extraordinaire inventivité. Nous n’avons jamais entendu une interprète d’Alcina aller aussi loin dans l’intériorisation de la douleur, car ce n’est pas seulement de l’exclamation répétée, du cri que naît ici l’émotion, mais aussi de la plus infime ciselure. Nous attendions beaucoup de cette prise de rôle comme de cette nouvelle collaboration avec Christophe Rousset, complice de tant d’aventures, mais le résultat dépasse tout ce que nous pouvions imaginer. Alcina l’orgueilleuse, la langoureuse, la maternelle, la désespérée, la cruelle … : Sandrine Piau les contient toutes, les incarne toutes, avec une égale justesse.  

Forum Opera, Bernard Schreuders, 30 janvier 2015

 

RECITALS

"French soprano Sandrine Piau makes stunning D.C. debut"

Manoff and Piau recorded many of these songs on their 2011 CD, “Après un rêve.” The qualities that set Piau’s voice apart on disc were, if anything, more pronounced live: clarity of intonation more than idiosyncratic color, lightness at the top more than force, unmannered elegance of diction more than fussy precision. Her rhythmic freedom, always shadowed adroitly by Manoff, helped her create the sense of poetry being recited in music, especially in impeccable sets of French songs by Fauré, Chausson, Debussy and Poulenc.

The Washington Post, Charles T. Downey, 8 February 2016

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