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Revue de presse

Archives 2021

L'album Clair-Obscur récompensé !

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Clair-obscur envoûtant avec Sandrine Piau : récompensé par une Clef d'or

"Dans toutes ces pièces, Sandrine Piau fait triompher le miracle de sa sensibilité musicale. Devant tant de beautés vocales, on ne sait s’il faut davantage s’incliner devant la délicatesse infinie des phrasés, devant les moirures argentées de ce timbre flûté d’une rare fraicheur ou devant la palette de couleurs qui pare une ligne vocale d’une extrême droiture. Les cinquante minutes de cet album pour le moins inspirant s’entendront comme une porte vers le monde du rêve et de l’imagination."

Resmusica, Pierre Degott, 19 mars 2021

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Clair-Obscur et Brockes-Passion dans le magazine Scherzo
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Joseph Haydn, Scena di Berenice

"Un timbre acéré, fin comme la pointe d'une aiguille au moment d'attaquer la note, qui lui permet d'assurer une justesse imparable, qu'elle fait ensuite grandir jusqu'a éclater comme un fruit mûr lorsque le son doit être tenu plus longtemps. Dès lors, le chant se colore avec une palette d'une infinie diversité. Si l'on ajoute à cet instrument idéal une intelligence du texte et une diction exemplaires, ainsi qu'une incarnation qui fait sauter toutes les conventions pour nous tranporter au milieu d'une scène d'opera, on comprendra qu'on tient là une quintessence de chant classique."

Clair-Obscur : 
Sandrine Piau, Jean-François Verdier, Orchestre Victor Hugo
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BBC Music Magazine
11/06/2021
Sandrine Piau, soprano multiple.

La fabuleuse Sandrine Piau fait l’actualité avec trois nouvelles parutions qui marquent ce printemps musical :  Haendel, Haydn, Strauss, Berg et Zemlinsky sont à l’honneur avec ce même bonheur musical absolu. Crescendo Magazine rencontre l’une des très grandes artistes de notre époque. 

 

Article complet à lire ici : Crescendo Magazine, 21 avril 2021

Clair-Obscur GRAMOPHONE EDITOR'S CHOICE

"Piau’s voice is light and deftly controlled, and it’s matched beautifully by dappled orchestral accompaniment from the Besançon-based Orchestre ‘Victor Hugo’ and conductor Jean-François Verdier – certainly more ‘clair’ than ‘obscur’. Don’t expect the full glare of autumnal sunlight in this ‘Im Abendrot’ or high-tensile dissonance in the Berg. Instead, against a controlled orchestral canvas, Piau imbues everything with a tender humanity.

 

Berg’s songs quiver with anticipation – the underlying passion of ‘Die Nachtigall’ comes across beautifully, ‘Traumgekrönt’ teeters on the edge of euphoria, ‘Liebesode’ exudes sensuality – without Piau ever sounding pushed or taxed. And while her Four Last Songs is unlikely to dislodge anyone’s more luxurious current favourite, it is a deeply moving and effective performance in which one hears these wonderful works anew – thanks both to the freshness of the approach and to the context of the programming, with ‘Malven’, at the close, tentatively bringing us back to summer."

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Clair-Obscur CHOC CLASSICA
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Sandrine Piau et l’alchimie du Clair-Obscur

"Tout au long de ce cycle, Sandrine Piau donne sens aux mots, avec une respiration subtile qui fait appel tout autant à l’intimisme qu’à la dimension cosmique (que l’on aurait tort d’oublier). L’émotion est sans cesse présente, avec un timbre aux nuances immatérielles. Superbe réussite, (...)"

Sandrine Piau « couronne de songe » le lied postromantique avec l’Orchestre Victor Hugo

"Clair-obscur est un hymne captivant au postromantisme austro-allemand. Le compagnonnage de la grande artiste française, Sandrine Piau, et de l’Orchestre Victor Hugo sous la direction de J.-F. Verdier, magnifie le lied avec la trinité Richard Strauss, Alexander von Zemlinsky, Alban Berg, grâce aux illuminations poétiques des Eichendorff, Rilke et consort." 

Opéra : Sandrine Piau au pays des ombres

"Ses aigus phosphorescents rient des lois de la pesanteur, caressés, soulevés par la brise instrumentale."

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Diapason

It’s light rather than shade, though, which predominates elsewhere - and especially in the luminous account of Strauss’s Four Last Songs, usually the province of significantly heavier voices than Piau’s lightish lyric instrument but sung here with a freshness and flexibility that made me hear them in a whole new light

Une beauté parfois onirique, souvent nocturne ou crépusculaire, vénéneuse également exaltée par la générosité du timbre d’une Sandrine Piau et d’un duo orchestre / chef particulièrement inspirés. Une intensité, une densité, une force dramatique, un abandon presque. "O Weiter, Stiller Friede ! So tief im Abendrot"

Clair-Obscur envoûtant avec Sandrine Piau

Sandrine Piau irradie dans un répertoire où on ne l’attendait pas. Interprétation presque chambriste avec Jean-François Verdier et l’Orchestre Victor Hugo France-Comté.

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Resmusica, 19 mars 2021,  Pierre Degott

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Europadisc’s Disc of the Week 

Even more intimate is the lovely ‘Meinem Kinde’ of 1897 (orchestrated in 1900), with its chamber-like scoring and childlike innocence, whose harmonies nevertheless have a knowingly forward-looking gaze. Piau’s voice is gentleness itself, but she then rises superbly to the challenges of Alban Berg’s 1928 orchestration of his Seven Early Songs (composed in 1905-08), some of which look forward to the terrifying expressionist world of Wozzeck (‘Nacht’, ‘Schilflied’ and ‘Traumgekrönt’) even as others seem firmly rooted in the late-Romantic glow of Wagner and Strauss. With Verdier bringing out telling orchestral details while never obscuring the voice, this is a jewel of a performance, capped by a superb account of the vocally demanding ’Sommertage’. It’s unsurprising, after hearing this, to learn that Piau performed these songs at the opening recital of Hamburg’s Elbphilharmonie concert in January 2017; she inhabits their text and music completely.

« Le rêveur ! Ce double de notre être, ce clair-obscur de l’être pensant » écrit Gaston Bachelard en 1961. « Le vieux monde se meurt, le nouveau tarde à apparaître et dans ce clair-obscur surgissent les monstres », poursuit Antonio Gramsci. Sandrine Piau a choisi d’apposer ces deux citations en exergue de son nouvel enregistrement : « Mes proches connaissent cette obsession qui ne me quitte jamais totalement. L’antagonisme entre lumière et obscurité. Le clair-obscur, l’entre deux… ». Ce programme, enregistré avec l’orchestre Victor Hugo dirigé par Jean-François Verdier, chef et clarinettiste super-soliste de l’Opéra de Paris, chemine en effet entre la froide forêt rhénane du Waldgespräch, ballade de Zemlinsky composée en 1895 pour soprano et petit ensemble, la nuit du premier des Sieben frühe Lieder de Berg (1905-1908), le soleil de Morgen de Richard Strauss, suivi des Quatre Derniers Lieder, composés en 1948, dont les deux premiers Frühling (le printemps) et September (l’automne) sont aussi « les saisons de la vie » conclut Sandrine Piau.

Interview ForumOpera

Sandrine Piau : "Je suis un clown triste"

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